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Qu’est-ce qu’un incipit? Les non-latinistes ne le savent pas forcément, il s’agit du début. Du tout début de l’histoire. Incipire en latin signifie “commencer”. En somme, il s’agit du moment de ta romance que tu veux soigner le plus. Bien sûr, on ne bâcle rien dans l’écriture. Mais s’il y a un passage qui doit retenir ton attention plus que les autres, c’est bien l’incipit. 

Le hook ou l’accroche

C’est l’instant clé qui va donner envie à la lectrice de poursuivre… ou de reposer ta romance. Le début, les premières phrases, sont ce qu’on appelle l’accroche. Ou le hook, en anglais. Mais pour moi, Hook est la meilleure adaptation de Peter Pan donc on va dire l’accroche. Il faut que tu captes l’attention dès l’incipit. C’est aussi simple et compliqué que ça. Car bonjours la pression, hein? Heureusement, il existe des techniques pour nous aider à réussir cette entrée en matière, et j’en ai retenu 5 à te présenter aujourd’hui.

L’incipit qui plonge direct dans le grand bain!

 

Encore un peu de latin, mais c’est pas moi qui détermine les dénominations. L’incipit in medias res est une de mes techniques préférées. Cette expression signifie “au milieu des choses”, assez littéralement, et on peut la traduire par “en plein milieu”.

En substance, il s’agit de plonger immédiatement ta lectrice au cœur d’une scène. Que ce soit une description, une action, une réflexion, voire même un dialogue (mais entre maximum 2 personnages, sinon tu perds trop facilement le fil). L’idée est de happer tout de suite la lectrice et qu’elle soit embarquer sans avoir le choix.

En plus de l’accrocher, tu vas l’intriguer. Lui donner envie d’en savoir plus. Par exemple, ce procédé narratif est très utilisé au cinéma. Je pense que tu situes bien la scène de début où on voit quelqu’un s’enfuir, ou poursuivre quelqu’un d’autre, et on est jeté là-dedans sans contexte. Et pourtant, on a envie de savoir pourquoi il ou elle fuit. On est plongé dans l’action, et on se prend au jeu. Si c’est bien mené, bien sûr.

Parce que le risque de ce type de début est de perdre la lectrice. C’est tout un art de parvenir à en dire assez pour susciter l’intérêt, sans s’étaler sur les explications qui retire tous ses avantages à l’incipit in medias res.

Avec cet exemple, bien sûr le romantic suspense se prête parfaitement à ce genre de début. Mais pas uniquement!

J’utilise souvent cette technique narrative en immergeant ma lectrice dans un cheminement de pensées d’un.e protagoniste, en cours de route. Inutile d’expliquer comment on en est arrivé là, ça va se dérouler tranquillement par la suite. L’idée est un peu celle d’un train qui passe et dans lequel on saute alors qu’on n’est pas à la gare. La métaphore, comme toujours, c’est cadeau.

Tu n’as pas besoin de savoir d’où vient le train, en tout cas pas dans le détail. Par contre, tu découvres petit à petit des éléments qui t’indiquent où tu vas, quels arrêts du va faire en route, etc.

Ce procédé demande une implication de la lectrice qui devient presque actrice elle-même. On appelle d’ailleurs aussi ce genre de début un incipit dynamique. Ce n’est pas pour rien: ça bouge direct!

Il y a énormément de manières d’exploiter cette technique, mais attention donc à ne pas vouloir laisser trop de mystère: si on ne comprend absolument pas ce qui se passe pendant trop longtemps, on lâche.

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Un incipit de page-turner

 

Un autre procédé qui me plaît beaucoup est celui du flash-forward. Je dois même faire très attention à ce que tous mes incipit ne soient pas sur ce modèle, tant j’en suis fan. Je l’ai utilisé pour toute ma saga de tomes compagnons des Phoenix Ashes, c’est dire si je suis de parti pris!

Flash-forward est le contraire d’un flash-back. Je pense que tout le monde connaît le concept du flash-back qui consiste à intégrer un passage qui s’est produit avant le moment présent, dans le passé. Un souvenir, une scène qu’on n’a pas écrite et qu’on rapporte, etc. Le flash-forward fait dont l’inverse: on donne à lire une scène qui se déroule en réalité bien plus loin dans le récit.

En quoi cette technique narrative est intéressante?

Elle va créer une attente, une envie de tourner les pages, pour atteindre ce moment. Car tout est dans le dosage: tu ne vas pas prendre un bout de ton épilogue et le placer tel quel au début de ta romance. Ça n’aurait aucun sens et reviendrait à faire lire la fin avant le début.

Il s’agit plutôt de sélectionner un passage en particulier, pas trop long si possible, que tu sors de son contexte. On ne dit pas qui, quoi, comment. On pose ça là, en quelque sorte, et on s’arrange pour que ce petit bout d’histoire qui ne s’est pas encore produite génère une frustration.

Mais une frustration positive, hein. Ne donne pas envie à ta lectrice de balancer ton bouquin dès la première phrase. Le but est qu’elle se dise “il se passe quoi, là?” et soit impatiente de découvrir comment on en est arrivé là.

Prends l’incipit du premier tome de Twilight, par exemple:

“Je n’ai jamais beaucoup réfléchi à la manière dont je mourrais – même si, ces derniers mois, j’aurais eu toutes les raisons de le faire- mais je n’aurais jamais imaginé que ça se passerait ainsi.

Haletante, je fixai les yeux noirs du prédateur, à l’autre bout de la longue pièce. Il me rendit mon regard avec affabilité.

C’était sûrement une bonne façon d’en terminer. À la place d’un autre, d’un que j’aimais. Noble, pourrait-on dire. Ça devrait compter en ma faveur.

Si je n’étais pas partie pour Forks, je ne me serais pas retrouvée dans cette situation, j’en avais conscience. Pourtant, aussi terrifiée que je fusse, je n’arrivais pas à regretter ma décision. Quand la vie vous a fait un don d’un rêve qui a dépassé toutes vos espérances, il serait déraisonnable de pleurer sur sa fin.

Ce fut avec un sourire aimable et tranquille que le chasseur s’approcha pour me tuer.”

Passons sur le niveau de langage absolument pas adapté à l’âge de Bella, 16 ans, et attardons-nous sur cet incipit.

Elle évoque sa mort imminente, l’amour, le sacrifice et le rêve, tout ça en quelques phrases. Quand on n’a aucune idée de ce qui se passe dans Twilight, et qu’on vit sûrement dans une grotte troglodyte, on se demande: “Attends, pourquoi elle va mourir? Elle est visiblement la protagoniste puisque c’est raconté de son point de vue à la 1° personne. Et bam, elle va calencher à la place d’un autre? Qui? Pourquoi? C’est qui ce chasseur? Et c’est quoi, Forks?”

Si le style te plaît, tu vas enchaîner pour savoir comment l’héroïne s’est retrouvée dans cette situation.

Bien sûr, cet incipit n’est pas ce que tu écris en premier. Tu vas le chercher dans ton texte, une fois toute la romance écrite, et si besoin, tu l’adaptes. C’est que je fais souvent, pour conserver une part de suspense et donner encore plus envie de découvrir le pourquoi du comment.

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C’est le printemps: on élague l’incipit!

 

Et puisqu’on parle d’adaptation (je sais, mes transitions sont de plus en plus naturelles), il ne faut pas hésiter à faire des coupes drastiques dans ton début.

C’est une anecdote dont je parle régulièrement, mais je ne crois pas l’avoir déjà abordée dans mes articles. Si c’est le cas, on va dire que je radote et ça me va. Donc, j’ai d’abord sorti un texte en semi-auto-édition. Semi, car je l’ai publiée dans la maison d’édition qu’on avait montée avec Jacinthe, EDB, et dont je sais que je t’ai déjà parlé.

Je n’étais pas la seule à travailler dessus, certes, mais on n’avait pas l’expérience d’une éditrice de métier. Ça s’est ressenti lorsqu’après la fermeture de EDB, mon texte a été repris par HarperCollins pour leur collection &H.

La première chose sur laquelle on a travaillé, sans suspense, a été mon début. L’éditrice, à raison, m’a signalé que c’était un peu long à se mettre en place. Alors j’ai commencé par faire des coupes. Un peu de ce côté, ça c’est pas utile, ça on s’en passe, ça j’en reparle plus tard… Mais je n’étais toujours pas convaincue. Car une fois qu’on m’avait mis le nez sur le problème, impossible pour moi de ne pas réaliser à quel point mon début étant loooooong à démarrer.

Le titre ayant déjà eu une petite vie, je me souvenais d’un commentaire de lectrice en particulier qui disait qu’elle avait aimé, mais que c’était un peu mou, au début. 100% d’accord avec elle, surtout après le retour de l’éditrice professionnelle, j’ai d’autant plus apporté du soin à cet incipit soporiphique.

Jusqu’à réaliser que faire des coupes n’était pas suffisant. J’ai alors supprimé 3 chapitres. Les 3 premiers chapitres ont été décapités du reste de l’histoire, et mon livre ne s’en est jamais aussi bien porté!

Bien entendu, je te donne cet exemple assez extrême. Et rassure-toi, tout ce qui était pertinent a été replacé au fil du manuscrit. Le risque lorsqu’on supprime est de créer des incohérences, et on a bien bossé à ce niveau.

Mais l’important n’est pas de se dire “oh non, 8000 mots qui sautent comme ça, c’est trop difficile!” mais bien de se demander si ça sert la romance. Dans mon cas, la réponse était oui, sans hésiter.

Sans aller jusqu’à amputer ton histoire de milliers de mots à la machette comme j’ai pu le faire, tu peux commencer par t’interroger. Une fois ton manuscrit terminé, en relisant, essaie d’identifier ce qui n’est pas du tout nécessaire à l’histoire. Particulièrement dans le début, où on a tendance à tellement vouloir poser le contexte qu’on remonte sur plusieurs générations dans le passé des protagonistes.

J’exagère, mais pas tant que ça. Et si tu décides de relire cet incipit après avoir pris assez de recul, tu verras que tu peux sûrement l’alléger dans le but de le rendre plus efficace. On en reparle dans le dernier conseil, car j’en ai un autre à te donner avant!

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La phrase choc, alliée d’un incipit percutant!

 

J’ai déjà parlé plus haut de l’accroche. Du fait que ton incipit est là pour harponner la lectrice et qu’elle n’ait plus envie de partir. Maintenant, je te propose d’aller encore plus loin dans cette technique, et de faire en sorte que la toute première phrase de ta romance soit à elle seule un début si prenant qu’on ne peut pas poser ton livre.

Je vais utiliser des exemples qui ne sont pas des romances pour illustrer mon propos, parce que ce sont des phrases qui m’ont marquée durant toutes mes études. Et elles sont encore avec moi, 20 ans plus tard. C’est qu’elles sont ultra efficaces, non?

Celle qui ne me quitte jamais est la suivante:

“Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas.”

C’est ainsi que démarre L’étranger de Camus. Percutant, non?

“Sur ce sentiment inconnu, dont l’ennui, la douceur m’obsèdent, j’hésite à apposer le nom, le beau “nom grave de tristesse.”

Bonjour tristesse de Françoise Sagan

“Tous les enfants, sauf un, grandissent.”

Peter Pan de J.M. Barrie

Et quand même, un exemple de romance:

“C’est une vérité universellement reconnue qu’un célibataire pourvu d’une belle fortune doit avoir envie de se marier.”

d’Orgueil et Préjugés de Jane Austen.

Et même quand on sort de la fiction, on utilise (sciemment ou non), ce procédé, comme dans le Deuxième Sexe de Simone de Beauvoir qui démarre ainsi:

“J’ai longtemps hésité à écrire un livre sur la femme.”

Au final, l’essentiel est de donner envie non pas avec le début, mais presque dès le premier mot, de continuer la lecture. L’incipit est alors réduit à une phrase, même si techniquement le début s’étend au-delà, et tu dois poser tout ton focus sur cette phrase.

C’est d’ailleurs totalement compatible avec le reste des astuces que je te confie, car plus tu soignes ton début, plus tu auras un incipit irrésistible.

Avant mon dernier conseil, je me dois de te présenter rapidement les formes “officielles” de l’incipit, même si j’ai déjà évoqué mes préférences.

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Les 4 formes de l’incipit

 

Tu connais déjà l’incipit “in medias res” qu’on a vu plus haut.

Il existe 3 autres formes d’incipit qu’on étudie en stylistique, et je vais brièvement te les présenter. Car ça reste intéressant de savoir ce qui est à ta disposition.

L’incipit statique: là, on est à l’opposé de l’incipit dynamique, dans le sens où on va tranquillement développer le contexte. Au lieu de plonger la lectrice dans l’histoire, tu montes le décor, pierre par pierre. L’avantage est que selon ton genre littéraire au sein de la romance, ça peut être utile de détailler tout ça. Par exemple, dans une romance fantasy, ou d’urban fantasy, on peut totalement perdre la lectrice si on ne lui donne pas un cadre. Le monde étant différent de ce qu’on connaît, poser les bases peut s’avérer plus qu’utile: nécessaire.

Attention toutefois au piège de la confiture qu’on étale jusqu’à ne plus la voir. J’ai eu l’expérience avec une série d’urban fantasy, où le monde post-apocalyptique est tellement complexe, que ça a été too much pour moi (et beaucoup de lectrices de ma connaissance) d’en lire tous les tenants et aboutissants. J’aurais abandonné si une amie ne m’avait pas affirmé que la suite en valait le coup. Elle m’a guidée tout au long de ce démarrage dans lequel le flot d’informations était simplement trop important pour les assimiler. Et si je comprends la volonté d’expliquer où on se trouve, ce qui se passe, comment on en est arrivé à cet univers, etc., je reste convaincue qu’on peut distiller certaines informations naturellement, au fil de la lecture.

Alors attention à l’utilisation de l’incipit statique: c’est piégeux.

L’incipit progressif va d’ailleurs précisément dans ce sens. On lâche des indices, on contextualise juste ce qu’il faut, et on laisse aussi un peu de mystère.

Je me souviens du début de ma première romance biker, lorsque je l’ai fait lire à ma toute première bêta lectrice. Elle avait les trois premiers chapitres en main, et son retour a été une douche froide. Glacée, oui, mais qui m’a permis de prendre conscience de ma grosse erreur. Elle m’a dit “Tu m’as tout dit que le héros, là. Je sais tout ce qu’il y a à savoir, ça ne me donne pas envie de continuer, j’ai la sensation de n’avoir plus rien à découvrir.”

Elle avait tellement raison, que comme pour ma précédente anecdote, ça m’a sauté aux yeux! J’ai voulu présenter de manière exhaustive mon protagoniste, ce qui n’a aucun intérêt. L’incipit de ta romance n’est pas faite pour ça. La lectrice a toute ton histoire pour en apprendre sur tes personnages. Tu n’as pas besoin de balancer leur CV dès le début. C’était maladroit de ma part, et quand elle me l’a fait remarquer, j’ai été traumatisée dans le bon sens. Maintenant, je veille à ne jamais plus transformer mes incipit en fiche personnage… Ni en catalogue Ikea, d’ailleurs. Décrire, oui, mais en utilisant l’incipit progressif c’est bien plus fluide et intéressant. Car en effet, ça donne envie de récupérer ces informations et indices au fil des pages, sans se presser.

Même si l’inverse peut tout autant faire le job d’une accroche réussie, et c’est ce que tu peux obtenir en utilisant l’incipit suspensif. Le but est d’obtenir le même résultat qu’avec la technique narrative du flash-forward. On doit laisser si peu d’informations, que la lectrice veut savoir et aller plus loin. Sauf que tu n’es pas tenue d’utiliser le flash-forward, bien sûr. Cela dit, en dehors d’une mise en situation rapide et percutante, si tu laisses trop de questions sans réponse, ça peut provoquer l’effet inverse. Retarder l’entrée véritable dans l’histoire, OK, mais on évite de repousser ça aux calendes grecques, au risque que la lectrice décroche. Je me devais de te présenter cette forme d’incipit, mais en dehors du flash-forward, il n’a clairement pas ma préférence.

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Pour conclure…

 

Quoi qu’il en soit, te voilà bien armée pour écrire un incipit de romance de ouf malade! Si ta lectrice lâche ton livre trop tôt, ce sera lié à un manque de sommeil, et pas à la qualité de ton écriture!

Entre l’incipit in medias res qu’on pourrait rebaptiser “on n’est pas là pour enfiler des perles”, le page-turner qui laisse ta lectrice en plein suspense, la taille de printemps qui permet d’aller à l’essentiel, la phrase choc qui annonce direct la couleur, et les formes d’incipit à ta disposition, il ne me reste qu’un conseil à te donner:

Écris ton incipit à la fin. Toujours. Attends d’avoir terminé l’écriture de ta romance pour reprendre non seulement le début, mais aussi les premiers chapitres. Pourquoi?

  • Ton écriture évolue au fil de ton manuscrit, c’est un fait. Pour éviter un déséquilibre, en revenant sur le début après la fin, tu harmonises le style.
  • Tu connais bien mieux ton histoire, maintenant que tu en as déroulé tout le fil. Et si c’était l’occasion d’ajouter une petite chose à droite à gauche, pour attiser encore plus la curiosité de ta lectrice?
  • De toute façon, tu dois relire, alors autant te focaliser sur ce début d’histoire si important pour la vie de ta romance!

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